Derrière le Boisserand un petit chemin mène aux collines jusqu'à Caseneuve. Là les cerisiers abondent comme des champs de cotton. Près du champ du fou , j’ai préféré ceux-ci parce qu’ils étaient dans un environnement particulier. Pas si loin de là se trouve une très belle borie qui étonne par son excellence dans l’équilibre de sa pyramide.
Grand plaisir pour cette peinture, je la peignis d’un trait. Les jaunes les verts tombèrent comme une évidence et le champ de cerisiers martyrisés par une taille méchante, prit sa place sur un arrière plan saumoné.